« Le bonheur est un état d’esprit qui procède de l’accomplissement de vos valeurs
- Ayn RAND, artiste, écrivaine, philosophe, romancière, scénariste
Roman les cadeaux mal emballés
C’est avec bonheur que je vous invite à découvrir mon 1er roman « Les cadeaux mal emballés » disponible sur Amazon.
Laissez-vous surprendre : lisez-le 🙂

Selon les statistiques Eurostat 2010, que l’on trouve sur Google, les jeunes quittent le nid familial en moyenne à 24 ans en France, soit un peu plus tard qu’il y a dix ans, où le départ du foyer se faisait à un peu plus de 23 ans, et un peu plus tôt que la moyenne européenne, qui est de 26 ans.
Quand les enfants s’en vont, lorsqu’ils quittent le foyer familial, de nombreux livres et articles ont véritablement commencé à fleurir en France, sur ce thème sociétal, à partir des années 2000. J’en cite quelques uns ici, et me propose de les résumer.
Quand le petit dernier quitte la maison, une page se tourne dans la vie des parents, tiraillés entre sentiments d’abandon et de libération. Une rupture qui peut être source d’une profonde angoisse, voire d’une période dépressive importante, surtout chez les mères, c’est ce qu’on appelle « le syndrome du nid vide » comme l’explique cet article du Parisien rédigé par Ségolène BARBÉ. Elle confie d’ailleurs personnellement :

Selon les statistiques Eurostat 2010, que l’on trouve sur Google, les jeunes quittent le nid familial en moyenne à 24 ans en France, soit un peu plus tard qu’il y a dix ans, où le départ du foyer se faisait à un peu plus de 23 ans, et un peu plus tôt que la moyenne européenne, qui est de 26 ans.
Quand les enfants s’en vont, lorsqu’ils quittent le foyer familial, de nombreux livres et articles ont véritablement commencé à fleurir en France, sur ce thème sociétal, à partir des années 2000. J’en cite quelques uns ici, et me propose de les résumer.
Quand le petit dernier quitte la maison, une page se tourne dans la vie des parents, tiraillés entre sentiments d’abandon et de libération. Une rupture qui peut être source d’une profonde angoisse, voire d’une période dépressive importante, surtout chez les mères, c’est ce qu’on appelle « le syndrome du nid vide » comme l’explique cet article du Parisien rédigé par Ségolène BARBÉ. Elle confie d’ailleurs personnellement :


Les étapes après l'écriture
1- Couverture intégrale
Après la réalisation de la 1ère de couverture, nous avons travaillé la 4ème de couverture, avec mon coach Erwan SIMON et son équipe de la Formation « Éditer son livre ».
Comme pour tous les livres, elle comprend :
- Un résumé du roman
- Une courte biographie personnelle avec une photo
- et les informations légales et règlementaires (le prix, des codes barre, le numéro ISBN)
Clément HERBEZ a finalisé la couverture intégrale que vous voyez ci-après.


« Pendant vingt-cinq ans, je m’étais investie à fond dans ma fonction de mère, et d’un coup, tout un pan de ma vie n’existait plus, il fallait que je me réinvente un nouveau moi. C’est un peu comme lorsqu’on se retrouve brutalement au chômage. Le syndrome du nid vide, c’est un chômage de maman. »
L’image éloquente du « syndrome du nid vide » serait due à la romancière américaine Dorothy CANFIELD FISHER, qui l’utilisa pour la 1ère fois en 1914, avant qu’elle ne se popularise dans les années 1970.
Dans l’article de TV5monde « Le syndrome du nid vide« , je cite :
« c’est pour dompter cette période de deuil de la vie de famille, en anticiper les écueils et juguler les angoisses qu’elle génère ou ravive »
que les autrices Charlotte Attry et Brigitte Carrère, proposent un nouvel opus de la collection « Toi et moi, on s’explique, avec Le syndrome du nid vide« .

« Pendant vingt-cinq ans, je m’étais investie à fond dans ma fonction de mère, et d’un coup, tout un pan de ma vie n’existait plus, il fallait que je me réinvente un nouveau moi. C’est un peu comme lorsqu’on se retrouve brutalement au chômage. Le syndrome du nid vide, c’est un chômage de maman. »
L’image éloquente du « syndrome du nid vide » serait due à la romancière américaine Dorothy CANFIELD FISHER, qui l’utilisa pour la 1ère fois en 1914, avant qu’elle ne se popularise dans les années 1970.
Dans l’article de TV5monde « Le syndrome du nid vide« , je cite :
« c’est pour dompter cette période de deuil de la vie de famille, en anticiper les écueils et juguler les angoisses qu’elle génère ou ravive »
que les autrices Charlotte Attry et Brigitte Carrère, proposent un nouvel opus de la collection « Toi et moi, on s’explique, avec Le syndrome du nid vide« .
2- Mise en page
La mise en page a été réalisée par l’équipe d’Erwan SIMON, au sein de la formation « Editer son livre« .
Nous sommes ensuite passés à l’étape cruciale de la publication sur Amazon, le lundi 5 septembre. J’avais déjà fait 2 annonces ci-dessous, sur les réseaux 🙂
Une fois l’enregistrement effectué, Amazon nous indiquait un délai de 72 heures pour rendre le livre disponible en ligne 🙁 OMG !!!…

Cendrine DOMINGUEZ, l’animatrice et productrice de télévision, a d’ailleurs coécrit une enquête sur le sujet « Trois petits tours et puis les enfants s’en vont… », avec Coco Khalfon (Lattès, 2014). Elle témoigne également :
« Ma fille et mon fils sont partis quasiment en même temps, à 23 et 21 ans. Mon mari était ravi que les enfants s’en aillent mais, moi, j’ai eu plus de mal. Il n’y avait plus cette énergie, ce rythme quotidien. Je me suis alors beaucoup interrogée sur ce que serait mon rôle désormais ».
Le film « Mon bébé » de Lisa AZUELOS dont Sandrine Kiberlain tient le rôle principal de la mère, évoque précisément ce sujet du départ des enfants.

Cendrine DOMINGUEZ, l’animatrice et productrice de télévision, a d’ailleurs coécrit une enquête sur le sujet « Trois petits tours et puis les enfants s’en vont… », avec Coco Khalfon (Lattès, 2014). Elle témoigne également :
« Ma fille et mon fils sont partis quasiment en même temps, à 23 et 21 ans. Mon mari était ravi que les enfants s’en aillent mais, moi, j’ai eu plus de mal. Il n’y avait plus cette énergie, ce rythme quotidien. Je me suis alors beaucoup interrogée sur ce que serait mon rôle désormais ».
Le film « Mon bébé » de Lisa AZUELOS dont Sandrine Kiberlain tient le rôle principal de la mère, évoque précisément ce sujet du départ des enfants.


3- Publication
Quand les enfants s’en vont : cette période de transition souvent difficile pour les parents, et particulièrement pour les femmes, les mamans, peut cependant aussi leur offrir un tremplin vers un nouveau départ et même s’avérer être un moment privilégié pour la vie du couple, si ils savent aborder ce tournant de vie et même l’anticiper.
Mais, c’est aussi un grand moment de vérité pour le couple qui se retrouve dans un face-à-face dont il n’a souvent plus l’habitude, qui, pour peu que la retraite s’en mêle, peut devenir explosif. Selon une enquête réalisée en 2016 par le ministère de la Justice, le nombre de divorces de sexagénaires et + augmente considérablement depuis une dizaine d’années.
« Les enfants sont un ciment qui permet au couple de tenir la route, confirme la psychologue et auteure, Béatrice Copper-Royer, dans son livre « Le Jour où les enfants s’en vont » (Albin Michel, 2012). Après leur départ, certains se rendent compte qu’ils n’ont plus de raisons de continuer ensemble ».

Quand les enfants s’en vont : cette période de transition souvent difficile pour les parents, et particulièrement pour les femmes, les mamans, peut cependant aussi leur offrir un tremplin vers un nouveau départ et même s’avérer être un moment privilégié pour la vie du couple, si ils savent aborder ce tournant de vie et même l’anticiper.
Mais, c’est aussi un grand moment de vérité pour le couple qui se retrouve dans un face-à-face dont il n’a souvent plus l’habitude, qui, pour peu que la retraite s’en mêle, peut devenir explosif. Selon une enquête réalisée en 2016 par le ministère de la Justice, le nombre de divorces de sexagénaires et + augmente considérablement depuis une dizaine d’années.
« Les enfants sont un ciment qui permet au couple de tenir la route, confirme la psychologue et auteure, Béatrice Copper-Royer, dans son livre « Le Jour où les enfants s’en vont » (Albin Michel, 2012). Après leur départ, certains se rendent compte qu’ils n’ont plus de raisons de continuer ensemble ».

Quand les enfants s’en vont : cette période de transition souvent difficile pour les parents, et particulièrement pour les femmes, les mamans, peut cependant aussi leur offrir un tremplin vers un nouveau départ et même s’avérer être un moment privilégié pour la vie du couple, si ils savent aborder ce tournant de vie et même l’anticiper.
Mais, c’est aussi un grand moment de vérité pour le couple qui se retrouve dans un face-à-face dont il n’a souvent plus l’habitude, qui, pour peu que la retraite s’en mêle, peut devenir explosif. Selon une enquête réalisée en 2016 par le ministère de la Justice, le nombre de divorces de sexagénaires et + augmente considérablement depuis une dizaine d’années.
« Les enfants sont un ciment qui permet au couple de tenir la route, confirme la psychologue et auteure, Béatrice Copper-Royer, dans son livre « Le Jour où les enfants s’en vont » (Albin Michel, 2012). Après leur départ, certains se rendent compte qu’ils n’ont plus de raisons de continuer ensemble ».
C’est l’enseignante et écrivain Brigitte Bloch-Tabet, auteure de « Lorsque l’enfant s’en va » (Chiron, 2002), qui fut l’une des premières en France à évoquer ce syndrome du nid vide – mentionné aux Etats- Unis dès les années 1970. Et selon elle, les symptômes de ce « baby blues à retardement » peuvent être très divers.
Petite déprime passagère ou vraie crise existentielle de milieu de vie… Cette étape symbolique a des répercussions différentes selon le contexte dans lequel elle s’inscrit. Les femmes qui ne travaillent pas et qui ont tout misé sur la maternité se retrouvent bien sûr les plus dépourvues. Beaucoup sont aussi confrontées au même moment à la ménopause, qui bouscule leurs hormones, leur humeur et l’image qu’elles ont d’elles mêmes.
Sylvie LE BIHAN, écrivain, qui questionne l’amour maternel dans son nouveau roman, « Amour propre » (Lattès), explique:
« Lorsqu’elles n’ont plus leurs règles, certaines femmes ont l’impression de ne plus servir à rien, de perdre une part de leur féminité. Si, en plus, leurs enfants s’en vont, elles sont en même temps dépossédées d’un rôle dans la société ».

C’est l’enseignante et écrivain Brigitte Bloch-Tabet, auteure de « Lorsque l’enfant s’en va » (Chiron, 2002), qui fut l’une des premières en France à évoquer ce syndrome du nid vide – mentionné aux Etats- Unis dès les années 1970. Et selon elle, les symptômes de ce « baby blues à retardement » peuvent être très divers.
Petite déprime passagère ou vraie crise existentielle de milieu de vie… Cette étape symbolique a des répercussions différentes selon le contexte dans lequel elle s’inscrit. Les femmes qui ne travaillent pas et qui ont tout misé sur la maternité se retrouvent bien sûr les plus dépourvues. Beaucoup sont aussi confrontées au même moment à la ménopause, qui bouscule leurs hormones, leur humeur et l’image qu’elles ont d’elles mêmes.
Sylvie LE BIHAN, écrivain, qui questionne l’amour maternel dans son nouveau roman, « Amour propre » (Lattès), explique:
« Lorsqu’elles n’ont plus leurs règles, certaines femmes ont l’impression de ne plus servir à rien, de perdre une part de leur féminité. Si, en plus, leurs enfants s’en vont, elles sont en même temps dépossédées d’un rôle dans la société ».

C’est l’enseignante et écrivain Brigitte Bloch-Tabet, auteure de « Lorsque l’enfant s’en va » (Chiron, 2002), qui fut l’une des premières en France à évoquer ce syndrome du nid vide – mentionné aux Etats- Unis dès les années 1970. Et selon elle, les symptômes de ce « baby blues à retardement » peuvent être très divers.
Petite déprime passagère ou vraie crise existentielle de milieu de vie… Cette étape symbolique a des répercussions différentes selon le contexte dans lequel elle s’inscrit. Les femmes qui ne travaillent pas et qui ont tout misé sur la maternité se retrouvent bien sûr les plus dépourvues. Beaucoup sont aussi confrontées au même moment à la ménopause, qui bouscule leurs hormones, leur humeur et l’image qu’elles ont d’elles mêmes.
Sylvie LE BIHAN, écrivain, qui questionne l’amour maternel dans son nouveau roman, « Amour propre » (Lattès), explique:
« Lorsqu’elles n’ont plus leurs règles, certaines femmes ont l’impression de ne plus servir à rien, de perdre une part de leur féminité. Si, en plus, leurs enfants s’en vont, elles sont en même temps dépossédées d’un rôle dans la société ».


Qui suis-je sans mes enfants ?
« Elle a beau travailler, avoir un large cercle d’ami.e.s, s’intéresser à une foule de choses, la disponibilité d’une mère au quotidien est largement monopolisée par les besoins de ses enfants. Une fois qu’elle n’a plus ces repères, la voilà face à elle-même, échouée sur le rivage d’une mer d’huile après un tourbillon de vingt ans. Comment faire pour réorienter sa boussole ?«
Monique explique comment elle s’est retrouvée après « s’être un peu perdue » en se consacrant exclusivement à ses enfants, qu’elle « finissait par agacer » :
« Je n’avais pas confiance en moi, après tant d’années au foyer, mais je me sentais en forme, jeune et avec un grand besoin de trouver une mission«

Qui suis-je sans mes enfants ?
« Elle a beau travailler, avoir un large cercle d’ami.e.s, s’intéresser à une foule de choses, la disponibilité d’une mère au quotidien est largement monopolisée par les besoins de ses enfants. Une fois qu’elle n’a plus ces repères, la voilà face à elle-même, échouée sur le rivage d’une mer d’huile après un tourbillon de vingt ans. Comment faire pour réorienter sa boussole ? »
Monique explique comment elle s’est retrouvée après « s’être un peu perdue » en se consacrant exclusivement à ses enfants, qu’elle « finissait par agacer » :
« Je n’avais pas confiance en moi, après tant d’années au foyer, mais je me sentais en forme, jeune et avec un grand besoin de trouver une mission«

Qui suis-je sans mes enfants ?
« Elle a beau travailler, avoir un large cercle d’ami.e.s, s’intéresser à une foule de choses, la disponibilité d’une mère au quotidien est largement monopolisée par les besoins de ses enfants. Une fois qu’elle n’a plus ces repères, la voilà face à elle-même, échouée sur le rivage d’une mer d’huile après un tourbillon de vingt ans. Comment faire pour réorienter sa boussole ?«
Monique explique comment elle s’est retrouvée après « s’être un peu perdue » en se consacrant exclusivement à ses enfants, qu’elle « finissait par agacer » :
« Je n’avais pas confiance en moi, après tant d’années au foyer, mais je me sentais en forme, jeune et avec un grand besoin de trouver une mission«
Plus choyé qu’autre fois, l’enfant est l’objet de tous les espoirs : on l’aide à déployer ses talents, on s’inquiète pour ses études… « J’ai croisé des mères qui, aux réunions parents-profs, connaissaient mieux le programme que les professeurs, qui bachotaient avec leurs ados d’une manière incroyable. Lorsqu’on vit à ce point-là pour eux, on a ensuite beaucoup de mal à les lâcher », analyse la romancière Sylvie Le Bihan qui, pour sa part, a poussé sa fille à partir lorsqu’elle a estimé que le moment était venu.
Pour surmonter l’inquiétude, les regrets et la culpabilité toxiques, quand les enfants s’en vont, je partage l’avis des experts du Syndrôme du nid vide qui préconisent pas à pas des bilans, méthodes et mesures pour gérer le stress, aiguiller ses énergies, voire apprendre à ne rien faire, et maîtriser la présence non-intrusive.
Un enfant n’a jamais les parents dont il rêve, seuls les enfants sans parents ont des parents de rêve – Boris CYRULNIK

Plus choyé qu’autre fois, l’enfant est l’objet de tous les espoirs : on l’aide à déployer ses talents, on s’inquiète pour ses études… « J’ai croisé des mères qui, aux réunions parents-profs, connaissaient mieux le programme que les professeurs, qui bachotaient avec leurs ados d’une manière incroyable. Lorsqu’on vit à ce point-là pour eux, on a ensuite beaucoup de mal à les lâcher », analyse la romancière Sylvie Le Bihan qui, pour sa part, a poussé sa fille à partir lorsqu’elle a estimé que le moment était venu.
Pour surmonter l’inquiétude, les regrets et la culpabilité toxiques, quand les enfants s’en vont, je partage l’avis des experts du Syndrôme du nid vide qui préconisent pas à pas des bilans, méthodes et mesures pour gérer le stress, aiguiller ses énergies, voire apprendre à ne rien faire, et maîtriser la présence non-intrusive.
Un enfant n’a jamais les parents dont il rêve, seuls les enfants sans parents ont des parents de rêve – Boris CYRULNIK

Plus choyé qu’autre fois, l’enfant est l’objet de tous les espoirs : on l’aide à déployer ses talents, on s’inquiète pour ses études… « J’ai croisé des mères qui, aux réunions parents-profs, connaissaient mieux le programme que les professeurs, qui bachotaient avec leurs ados d’une manière incroyable. Lorsqu’on vit à ce point-là pour eux, on a ensuite beaucoup de mal à les lâcher », analyse la romancière Sylvie Le Bihan qui, pour sa part, a poussé sa fille à partir lorsqu’elle a estimé que le moment était venu.
Pour surmonter l’inquiétude, les regrets et la culpabilité toxiques, quand les enfants s’en vont, je partage l’avis des experts du Syndrôme du nid vide qui préconisent pas à pas des bilans, méthodes et mesures pour gérer le stress, aiguiller ses énergies, voire apprendre à ne rien faire, et maîtriser la présence non-intrusive.
Un enfant n’a jamais les parents dont il rêve, seuls les enfants sans parents ont des parents de rêve – Boris CYRULNIK


Et les hommes dans tout ça ?
« S’ils sont en général moins affectés, ils peuvent aussi connaître un passage à vide. Le départ des enfants réactive parfois chez eux une angoisse latente liée à des séparations mal vécues dans le passé : la perte précoce d’un père ou d’une mère, une rupture amoureuse, une séparation d’avec ses propres parents qui a laissé un goût amer… » explique Béatrice Copper-Royer, psychologue et auteure de « Le Jour où les enfants s’en vont » (Albin Michel, 2012).

Et les hommes dans tout ça ?
« S’ils sont en général moins affectés, ils peuvent aussi connaître un passage à vide. Le départ des enfants réactive parfois chez eux une angoisse latente liée à des séparations mal vécues dans le passé : la perte précoce d’un père ou d’une mère, une rupture amoureuse, une séparation d’avec ses propres parents qui a laissé un goût amer… » explique Béatrice Copper-Royer, psychologue et auteure de « Le Jour où les enfants s’en vont » (Albin Michel, 2012).

Et les hommes dans tout ça ?
« S’ils sont en général moins affectés, ils peuvent aussi connaître un passage à vide. Le départ des enfants réactive parfois chez eux une angoisse latente liée à des séparations mal vécues dans le passé : la perte précoce d’un père ou d’une mère, une rupture amoureuse, une séparation d’avec ses propres parents qui a laissé un goût amer… » explique Béatrice Copper-Royer, psychologue et auteure de « Le Jour où les enfants s’en vont » (Albin Michel, 2012).
pour aller plus loin
Comment se libérer de ses blocages ?

Et pour vous aider pour l’instant, à prendre toujours + concsience de l’importance d’oser dépasser vos peurs, vos blocages et réussir à réaliser vos rêves, je vous invite à lire ou relire mon article « Se libérer des blocages ».

Le 1er jour du reste de sa vie - Charlotte Attry et Brigitte Carrère
« Une fois surmontée la perte, le moment vient de se concentrer sur ce que vous avez gagné avec le départ de vos enfants et d’aller de l’avant. Forte de la fierté de les avoir portés vers l’indépendance bon an mal an, même si elle reste imparfaite, à vous de déployer vos ailes. C’est l’heure des nouveaux défis, professionnels ou personnels, qui peuvent passer par le bilan de compétences, le réaménagement ou le déménagement, une année sabbatique, la réactivation d’anciens contacts, l’accueil d’étudiants étrangers… ».
Pour les autrices, un seul mot d’ordre quand les enfants s’en vont : sortir plus ou moins radicalement de sa zone de confort, et découvrir qu’avoir élevé des enfants vous a aussi enrichie. Adaptabilité, écoute, recul, endurance, anticipation : vous êtes désormais tout-terrain !

Le 1er jour du reste de sa vie - Charlotte Attry et Brigitte Carrère
« Une fois surmontée la perte, le moment vient de se concentrer sur ce que vous avez gagné avec le départ de vos enfants et d’aller de l’avant. Forte de la fierté de les avoir portés vers l’indépendance bon an mal an, même si elle reste imparfaite, à vous de déployer vos ailes. C’est l’heure des nouveaux défis, professionnels ou personnels, qui peuvent passer par le bilan de compétences, le réaménagement ou le déménagement, une année sabbatique, la réactivation d’anciens contacts, l’accueil d’étudiants étrangers… ».
Pour les autrices, un seul mot d’ordre quand les enfants s’en vont : sortir plus ou moins radicalement de sa zone de confort, et découvrir qu’avoir élevé des enfants vous a aussi enrichie. Adaptabilité, écoute, recul, endurance, anticipation : vous êtes désormais tout-terrain !

Le 1er jour du reste de sa vie - Charlotte Attry et Brigitte Carrère
« Une fois surmontée la perte, le moment vient de se concentrer sur ce que vous avez gagné avec le départ de vos enfants et d’aller de l’avant. Forte de la fierté de les avoir portés vers l’indépendance bon an mal an, même si elle reste imparfaite, à vous de déployer vos ailes. C’est l’heure des nouveaux défis, professionnels ou personnels, qui peuvent passer par le bilan de compétences, le réaménagement ou le déménagement, une année sabbatique, la réactivation d’anciens contacts, l’accueil d’étudiants étrangers… ».
Pour les autrices, un seul mot d’ordre quand les enfants s’en vont : sortir plus ou moins radicalement de sa zone de confort, et découvrir qu’avoir élevé des enfants vous a aussi enrichie. Adaptabilité, écoute, recul, endurance, anticipation : vous êtes désormais tout-terrain !
Pour avoir vécu cette étape très jeune, à la trentaine car mon fils est parti vivre chez son père à 900 km dès ses 14 ans, je ne peux que confirmer ces propos et ces conseils.
Se préparer au nid vide, c’est aussi se préserver une vie professionnelle, amoureuse, amicale… et se laisser le temps de retrouver un équilibre après le départ des enfants.
« Je voyage davantage les week-ends, je m’occupe de moi, je fais des stages de développement personnel, de méditation, confie Lisa Azuelos. Sur le plan affectif, c’était difficile d’être à la fois une femme et une mère. Il y en a toujours une qui mange l’autre. Maintenant que ma petite dernière est partie, je peux redonner une place plus centrale à ma vie de femme. Une libération progressive qu’il faut apprivoiser ».
« Petit à petit, on se rend compte qu’on a moins de contraintes : une forme de légèreté peut s’installer mais elle n’est pas immédiate, prévient Béatrice Copper-Royer. Si les enfants prennent leur place dans le monde, c’est le signe qu’on a fait du bon boulot, qu’on a réussi à les accompagner sur le chemin de l’autonomie. » Leur faire confiance, c’est finalement le plus beau cadeau à leur offrir le jour de leur envol. Comme dit le proverbe, on ne peut donner que deux choses à ses enfants, des racines et des ailes ».

Pour avoir vécu cette étape très jeune, à la trentaine car mon fils est parti vivre chez son père à 900 km dès ses 14 ans, je ne peux que confirmer ces propos et ces conseils.
Se préparer au nid vide, c’est aussi se préserver une vie professionnelle, amoureuse, amicale… et se laisser le temps de retrouver un équilibre après le départ des enfants.
« Je voyage davantage les week-ends, je m’occupe de moi, je fais des stages de développement personnel, de méditation, confie Lisa Azuelos. Sur le plan affectif, c’était difficile d’être à la fois une femme et une mère. Il y en a toujours une qui mange l’autre. Maintenant que ma petite dernière est partie, je peux redonner une place plus centrale à ma vie de femme. Une libération progressive qu’il faut apprivoiser ».
« Petit à petit, on se rend compte qu’on a moins de contraintes : une forme de légèreté peut s’installer mais elle n’est pas immédiate, prévient Béatrice Copper-Royer. Si les enfants prennent leur place dans le monde, c’est le signe qu’on a fait du bon boulot, qu’on a réussi à les accompagner sur le chemin de l’autonomie. » Leur faire confiance, c’est finalement le plus beau cadeau à leur offrir le jour de leur envol. Comme dit le proverbe, on ne peut donner que deux choses à ses enfants, des racines et des ailes ».

Pour avoir vécu cette étape très jeune, à la trentaine car mon fils est parti vivre chez son père à 900 km dès ses 14 ans, je ne peux que confirmer ces propos et ces conseils.
Se préparer au nid vide, c’est aussi se préserver une vie professionnelle, amoureuse, amicale… et se laisser le temps de retrouver un équilibre après le départ des enfants.
« Je voyage davantage les week-ends, je m’occupe de moi, je fais des stages de développement personnel, de méditation, confie Lisa Azuelos. Sur le plan affectif, c’était difficile d’être à la fois une femme et une mère. Il y en a toujours une qui mange l’autre. Maintenant que ma petite dernière est partie, je peux redonner une place plus centrale à ma vie de femme. Une libération progressive qu’il faut apprivoiser ».
« Petit à petit, on se rend compte qu’on a moins de contraintes : une forme de légèreté peut s’installer mais elle n’est pas immédiate, prévient Béatrice Copper-Royer. Si les enfants prennent leur place dans le monde, c’est le signe qu’on a fait du bon boulot, qu’on a réussi à les accompagner sur le chemin de l’autonomie. » Leur faire confiance, c’est finalement le plus beau cadeau à leur offrir le jour de leur envol. Comme dit le proverbe, on ne peut donner que deux choses à ses enfants, des racines et des ailes ».

Méthode pour se libérer de ses blocages
Afin d’aider les mères de famille à vivre au mieux et réussir à tirer partie de cette étape cruciale de la vie d’une femme, j’ai mis en place un programme d’accompagnement complet pour vous aider à vous libérer, en 90 jours, de vos principales peurs et blocages et vous permettre ainsi de parvenir à reprendre le contrôle de votre vie, redonner un sens à votre vie et parvenir ainsi à réaliser les objectifs et rêves qui vous tiennent le plus à coeur pour vivre la vie qui vous inspire vraiment, quand vos enfants s’en vont 🙂





Méthode pour se libérer de ses blocages
Afin d’aider les mères de famille à vivre au mieux et réussir à tirer partie de cette étape cruciale de la vie d’une femme, j’ai mis en place un programme d’accompagnement complet pour vous aider à vous libérer, en 90 jours, de vos principales peurs et blocages et vous permettre ainsi de parvenir à reprendre le contrôle de votre vie, redonner un sens à votre vie et parvenir ainsi à réaliser les objectifs et rêves qui vous tiennent le plus à coeur pour vivre la vie qui vous inspire vraiment, quand vos enfants s’en vont 🙂





Méthode pour se libérer de ses blocages





Afin d’aider les mères de famille à vivre au mieux et réussir à tirer partie de cette étape cruciale de la vie d’une femme, j’ai mis en place un programme d’accompagnement complet pour vous aider à vous libérer, en 90 jours, de vos principales peurs et blocages et vous permettre ainsi de parvenir à reprendre le contrôle de votre vie, redonner un sens à votre vie et parvenir ainsi à réaliser les objectifs et rêves qui vous tiennent le plus à coeur pour vivre la vie qui vous inspire vraiment, quand vos enfants s’en vont 🙂
Si vous êtes une mère de famille, et que vous avez passé les dernière années de votre vie à vous occuper des autres, à élever vos enfants, à materner votre conjoint, à entretenir votre foyer…et que vous avez tout donné pour les autres.
Si à présent vos enfants ont grandi, deviennent autonomes, et que comme la majorité des femmes, vous vous sentez comme vide, perdue, ou déprimée, paniquée ou bloquée à l’idée de passer à une nouvelle étape de votre vie, alors que vous aimeriez voir la fierté dans le regard de vos proches et sentir l’admiration lorsqu’ils parlent de vous…
Alors, tout d’abord, je vous félicite pour être arrivée jusque là !
J’ai bien connu cette étape qui a bouleversée ma vie et qui aurait pu me conduire à tout perdre, en commençant par l’estime de moi et ma santé.
Je me sentais totalement perdue et n’osais pas en parler. Je ne savais pas vers qui me tourner pour m’aider à aborder cette étape de manière positive, voire bénéfique, afin de continuer à vivre ma vie sereinement et libre de vivre la vie dont je rêvais au plus profond de moi.

Si vous êtes une mère de famille, et que vous avez passé les dernière années de votre vie à vous occuper des autres, à élever vos enfants, à materner votre conjoint, à entretenir votre foyer…et que vous avez tout donné pour les autres.
Si à présent vos enfants ont grandi, deviennent autonomes, et que comme la majorité des femmes, vous vous sentez comme vide, perdue, ou déprimée, paniquée ou bloquée à l’idée de passer à une nouvelle étape de votre vie, alors que vous aimeriez voir la fierté dans le regard de vos proches et sentir l’admiration lorsqu’ils parlent de vous…
Alors, tout d’abord, je vous félicite pour être arrivée jusque là !
J’ai bien connu cette étape qui a bouleversée ma vie et qui aurait pu me conduire à tout perdre, en commençant par l’estime de moi et ma santé.
Je me sentais totalement perdue et n’osais pas en parler. Je ne savais pas vers qui me tourner pour m’aider à aborder cette étape de manière positive, voire bénéfique, afin de continuer à vivre ma vie sereinement et libre de vivre la vie dont je rêvais au plus profond de moi.

Si vous êtes une mère de famille, et que vous avez passé les dernière années de votre vie à vous occuper des autres, à élever vos enfants, à materner votre conjoint, à entretenir votre foyer…et que vous avez tout donné pour les autres.
Si à présent vos enfants ont grandi, deviennent autonomes, et que comme la majorité des femmes, vous vous sentez comme vide, perdue, ou déprimée, paniquée ou bloquée à l’idée de passer à une nouvelle étape de votre vie, alors que vous aimeriez voir la fierté dans le regard de vos proches et sentir l’admiration lorsqu’ils parlent de vous…
Alors, tout d’abord, je vous félicite pour être arrivée jusque là !
J’ai bien connu cette étape qui a bouleversée ma vie et qui aurait pu me conduire à tout perdre, en commençant par l’estime de moi et ma santé.
Je me sentais totalement perdue et n’osais pas en parler. Je ne savais pas vers qui me tourner pour m’aider à aborder cette étape de manière positive, voire bénéfique, afin de continuer à vivre ma vie sereinement et libre de vivre la vie dont je rêvais au plus profond de moi.


Cependant, j’avais déjà traversé très jeune, d’autres épreuves et je savais que cette étape aussi perturbante soit-elle, était en fait un nouveau cadeau mal emballé qui me permettrait assurément, après coup, de grandir et de transformer ma vie, pour enfin pouvoir vivre comme je le souhaitais.
À cette époque, mes amies ne me comprenaient pas car mon fils est parti tôt et elles ne vivaient pas cette situation. Alors j’ai continué mon chemin en cherchant tous les moyens et en frappant à toutes les portes pour m’en sortir.
Quelques années plus tard, ces mêmes amies ont à leur tour abordé cette étape des enfants qui deviennent autonomes et s’en vont. Cette étape douloureuse…Et elles sont naturellement revenues vers moi pour savoir comment j’avais fait pour sortir de ce tunnel.
C’est la raison pour laquelle j’ai conçu une méthode:
-
- douce,
-
- rapide,
-
- très accessible,
-
- et efficace
pour aider les femmes à cette période de leur existence, à tirer partie de cette étape délicate et donner ou redonner un sens à leur vie.

Cependant, j’avais déjà traversé très jeune, d’autres épreuves et je savais que cette étape aussi perturbante soit-elle, était en fait un nouveau cadeau mal emballé qui me permettrait assurément, après coup, de grandir et de transformer ma vie, pour enfin pouvoir vivre comme je le souhaitais.
À cette époque, mes amies ne me comprenaient pas car mon fils est parti tôt et elles ne vivaient pas cette situation. Alors j’ai continué mon chemin en cherchant tous les moyens et en frappant à toutes les portes pour m’en sortir.
Quelques années plus tard, ces mêmes amies ont à leur tour abordé cette étape des enfants qui deviennent autonomes et s’en vont. Cette étape douloureuse…Et elles sont naturellement revenues vers moi pour savoir comment j’avais fait pour sortir de ce tunnel.
C’est la raison pour laquelle j’ai conçu une méthode:
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- douce,
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- rapide,
-
- très accessible,
-
- et efficace
pour aider les femmes à cette période de leur existence, à tirer partie de cette étape délicate et donner ou redonner un sens à leur vie.

Cependant, j’avais déjà traversé très jeune, d’autres épreuves et je savais que cette étape aussi perturbante soit-elle, était en fait un nouveau cadeau mal emballé qui me permettrait assurément, après coup, de grandir et de transformer ma vie, pour enfin pouvoir vivre comme je le souhaitais.
À cette époque, mes amies ne me comprenaient pas car mon fils est parti tôt et elles ne vivaient pas cette situation. Alors j’ai continué mon chemin en cherchant tous les moyens et en frappant à toutes les portes pour m’en sortir.
Quelques années plus tard, ces mêmes amies ont à leur tour abordé cette étape des enfants qui deviennent autonomes et s’en vont. Cette étape douloureuse…Et elles sont naturellement revenues vers moi pour savoir comment j’avais fait pour sortir de ce tunnel.
C’est la raison pour laquelle j’ai conçu une méthode:
-
- douce,
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- et efficace
pour aider les femmes à cette période de leur existence, à tirer partie de cette étape délicate et donner ou redonner un sens à leur vie.
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Dans mon roman « Les cadeaux mal emballés » je vous livre mon parcours de ma conception à mes 23 ans, un parcours de femme autant éprouvant que riche, qui m’a mené à devenir la femme LIBRE et SEREINE que je suis aujourd’hui.
« Les cadeaux mal Emballés » disponible sur Amazon
En vente sur Amazon
Auteur Béatrice SEBAG
« Le bonheur est un état d’esprit qui procède de l’accomplissement de vos valeurs – Ayn RAND, artiste, écrivaine, philosophe, romancière, scénariste
C’est avec bonheur que je vous invite à découvrir mon 1er roman « Les cadeaux mal emballés » disponible sur Amazon.



Laissez-vous surprendre : lisez-le 🙂
Cliquez ici pour le commander !
Roman « Les cadeaux mal emballés »
Les étapes après l’écriture
1- Couverture intégrale
Après la réalisation de la 1ère de couverture, nous avons travaillé la 4ème de couverture, avec mon coach Erwan SIMON et son équipe de la Formation « Éditer son livre ».
Comme pour tous les livres, elle comprend :
- Un résumé du roman
- Une courte biographie personnelle avec une photo
- et les informations légales et règlementaires (le prix, des codes barre, le numéro ISBN)
- C’est quoi le code ISBN ? L’ISBN – International Standard Book Number – ou Numéro international normalisé du livre, identifie de manière univoque une monographie quel qu‘en soit le support de publication : imprimé ou multimédia.
Clément HERBEZ a finalisé la couverture intégrale que vous voyez ci-après.
Les cadeaux mal emballés – Couverture intégrale



2- Mise en page
La mise en page a été réalisée par l’équipe d’Erwan SIMON, au sein de la formation « Editer son livre« .
Nous sommes ensuite passés à l’étape cruciale de la publication sur Amazon, le lundi 5 septembre. J’avais déjà fait 2 annonces ci-dessous, sur les réseaux 🙂
Une fois l’enregistrement effectué, Amazon nous indiquait un délai de 72 heures pour rendre le livre disponible en ligne 🙁 OMG !!!…
3- Publication
Les deux annonces sur Youtube
Alors j’ai du informer à nouveau mon audience sur les réseaux, Facebook, Instagram et Youtube, qu’il y aurait un peu de retard, et j’ai réalisé un autre support d’annonce pour chaque réseau.



J’ai de nouveau informé mon audience sur les 3 réseaux.
2 Publications Youtube
4 – Livraison de mon roman « Les cadeaux mal emballés »
L’exemplaire d’Auteur
Le lendemain, soit le 7 septembre, mon 1er exemplaire, l’exemplaire d’Auteur (qui sert à vérifier si tout est parfait suite à la 1ère impression) arrivait dans ma boîte aux lettres.



J’ai donc à nouveau communiqué sur les réseaux sociaux pour confirmer que mon rêve d’enfant était symboliquement enfin concrétisé 🙂
Et voilà !
Pour aller plus loin
Pour vous aider à oser dépasser vos peurs et réussir à réaliser vos rêves, il me paraît important d’évoquer (à nouveau) les blocages liés aux contrats inconscients de loyauté ou de fidélité que l’on a très souvent, avec nos parents, notre famille ou des personnes importantes à nos yeux. C’est un des sujets principaux illustré dans mon roman. Dépasser les peurs, c’est tout d’abord :
- 1 – prendre conscience de nos croyances limitantes qui se sont créées, la plupart du temps, à travers ces contrats inconscients de loyauté,
- 2 – et réussir à les transformer.
À ce sujet, je vous invite à lire mon article Blessures émotionnelles
Pour aller encore plus loin
Guérir ses blessures et transformer sa vie – roman les cadeaux mal emballés
Pour compléter cet article et vous apporter toujours + de valeur, je vous propose en Bonus 2 vidéos de la coach et thérapeute Fanny HULEUX. Les vidéos « Trouver le courage d’être soi » et « comment se libérer de ses blocages émotionnels » abordent les thématiques majeures évoquées dans le 1er tome de mon roman actuellement en vente sur Amazon.
- Comment dépasser ses peurs, guérir ses blessures émotionnelles et transformer sa vie pour réaliser ses rêves ;
- Comment déprogrammer les contrats inconscients de loyauté, de fidélité.
Ces vidéos sont également en lien avec l’objet du Bonus GRATUIT que j’offre sur ce site internet – le Test pour savoir « quelle est l’origine de votre problématique« – par rapport à la nécessité de :
- 1- Prendre conscience de sa problématique ;
- 2- Accepter sa problématique !
- 3- Etre connecté à ses rêves d’enfant.
Emma, l’héroïne de mon livre peut tout à fait s’identifier ou être identifiée au parcours et au discours la coach. De même en visionnant ces vidéos, vous comprendrez aisément l’objectif de mon 1er livre, son titre et les messages qu’il véhicule, ainsi que la raison pour laquelle je prévoie un second tome, voire un troisième.
Guérir ses blessures et transformer sa vie – roman les cadeaux mal emballés
Pour continuer à vous aider à dépasser vos peurs afin de réussir à réaliser vos rêves, et cela en parfaite harmonie avec le Bonus GRATUIT que je vous offre « Quelle est votre problématique ? », découvrez :
- l’article « Avez-vous assez de courage pour découvrir votre propre vérité ? » , publié par ma collègue Angélique CHAVANEL, sur son blog Vivez d’Amour – Devenez la personne que vous devez être, inscrit dans la démarche de la découverte de soi ;
- Et également l’article « Je ne veux pas changer ma vie, je veux vivre pleinement la mienne » de Sara NORELLE, rédigé sur son blog Tout vous réussit ;
Cet article participe à l’évènement inter–blogueurs, proposé par l’auteur et conférencier Olivier ROLLAND sur son blog Des livres pour changer de vie, sur le thème « Vivre pleinement sa vie grâce à la lecture« .
Voilà pour l’article de la semaine 🙂
À la semaine prochaine !





